viernes, 25 de octubre de 2013

UN ABSOLUTISME MONARCHIQUE

LA MONARCHIE DE DROIT DIVIN

Le système politique du Régime Ancien était la monarchie absolue de droit divin, l'autorité du monarque provenait du Dieu. Le monarque concentrait tous les pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire) et un pouvoir absolu

L'acte d¦arbitraire était la norme d'État et aucune loi ne protégeait les subits du despotisme. Il existait quelques institutions qui conseillaient le roi.

lunes, 21 de octubre de 2013

LA SOCIÉTÉ SOUS L'ANCIEN RÉGIME


La société de l'Ancien régime: Se divise d'abord en trois ordres (et non en classes): 
  1. le clergé
  2. la noblesse 
  3. le peuple (dit aussi «tiers état»). 
Cette organisation était à l'origine fonctionnelle, chaque groupe assurant un rôle particulier: le salut de la société et sa direction morale, sa protection (la noblesse est d'abord une caste militaire) et sa subsistance. Depuis le Moyen-Âge, pourtant, ce système a évolué, de sorte que le statut ne correspond plus toujours à la fonction; mais la division la plus importante se situe entre les privilégiés—à peine 2% de la population—et la vaste majorité des roturiers. Les premiers, exemptés d'impôts et de la plupart des taxes, ne sont pas censés exercer d'activité lucrative: ils vivent des rentes de leurs terres ou des bénéfices que rapporte une charge. Les seconds, au contraire, vivent de leur travail et sont soumis aux impôts et taxes. 
    
 Chacun des trois ordres comporte des subdivisions. Il y a un «haut clergé», composé des cardinaux, des évêques, archevêques et abbés, le plus souvent de famille noble, et un «bas clergé» plus proche du peuple sur le plan socio-économique malgré ses privilèges: curés, vicaires, diacres et clergé régulier (moines et nonnes). Les distinctions de noblesse sont d'abord fondées sur l'ancienneté du lignage, le mieux étant de pouvoir se prévaloir d'un ancêtre dont le nom figure dans une chronique médiévale, pour avoir par exemple participé aux croisades: c'est la noblesse dite «d'épée» ou de «race», celle des «gentilhommes». A partir de 1600, pourtant, l'institution de la «vénalité des charges» permet à de nombreux bourgeois enrichis par le commerce ou l'industrie de s'intégrer à la noblesse dite «de robe», qui n'est pas attachée à une terre, mais à un office «anoblissant» qu'on achète. Au sein de l'immense peuple, la possession d'un savoir-faire professionnel sépare les artisans des ouvriers (prolétaires qui ne disposent que de l'énergie de leur corps pour gagner leur vie), tandis que la possession d'une terre sépare les laboureurs des paysans. Les bourgeois sont ceux qui ont accumulé un capital par la pratique du commerce ou d'une autre activité lucrative, ce qui peut éventuellement leur permettre de «vivre noblement» et de préparer ainsi leur accession à l'aristocratie.


 A la fin du XVIIe siècle, la bourgeoisie est devenue véritablement une classe, qui se pose en intermédiaire entre la roture et la noblesse—mais qui reste pratiquement exclue de l'exercice du pouvoir politique et supporte de moins en moins de soutenir par le paiment des taxes la vie oisive des nobles.



                            


                                 



viernes, 18 de octubre de 2013

L'EUROPE DE L'ANCIEN RÉGIME

ÉCONOMIE AGRICOLÉ ET MAJESTUEUX

LA PROPRIÉTÉ DE LA TERRE

L'agriculture était la source la plus importante de richesse. Seulement une petite partie des terres étaient privées. Les autres étaient liées aux nobles, un clergé ou la Couronne. La propriété liée permettait à son titulaire de tirer un profit économique et d'exercer une juridiction sur elle, mais il ne pouvait pas se vendre.

UNE PRODUCTION INSUFFISANTE
Une agriculture de subsistancedédiée à la polyculture. Il n'y avait pas de spécialisation et le commerce était peu abondante (autoconsommation). Les excédents il permettait son reviens sur des marchés locaux.

UNE POPULATION STAGNANTE
L'espérance de vie était basse, la  natalité était élevée et la mortalité était élevée.

DES TRANSPORTS
Les moyens de transports étaient très rudimentaires, les chemins et les routes constituaient le système de communication par excellence. Les calèches étaient très lentes et d'une capacité très réduite. Le deuxième grand moyen de transport était la navigation maritime, le déplacement était lent et sa capacité était assez limitée.

RÉSUMÉ